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lundi 3 janvier 2022

Rama Yade au pays des neuneus 4.1/4

Noir ? Le Code Colbert ? C'est tout ?

(Mise à jour du 25.01.2022)

 

Citation :

Il exista deux versions du Code Noir. La première préparée par le ministre du roi et puissant contrôleur général, Jean-Baptiste Colbert (1616 - 1683). Il fut promulgué en 1685 par Louis XIV, Roi de France du 14 mai 1643 au 1er septembre 1715 . La seconde promulguée par son successeur Louis XV en 1724. Les articles 5, 7, 8, 18 et 25 du Code noir de 1665 ne sont pas repris dans la version de 1724. Le texte suivant est celui de Colbert (1665). (...) Le Code Noir, qui était censé freiner les abus des maitres à l'égard de leurs esclaves, n'a eu pour effet que de codifier l'esclavage des noirs et la traite, justifiés, en ce temps là, par l'Église et les philosophes. A travers ses soixante articles transpire l'hypocrisie du législateur qui, tout en faisant semblant de considérer l'humanité de l'esclave noir, le présente, sur le plan purement juridique, comme une marchandise soumise aux lois du marché et un bien faisant partie intégrante d'un domaine.(source)

Quand on vous dit que le monde est vraiment peuplé de neuneus ! Prenez tous ces guignols prompts à tomber à bras raccourcis sur Rama Yade, coupable d'avoir profané leur sacro-saint Code Noir, alors même qu'elle ne l'a jamais évoqué. Parmi ces guignols figurent bon nombre de représentants d'une certaine "communauté". Et là, on se dit : "ma parole, ils sont devenus fous !". Mais vous connaissez certainement la fameuse réplique tirée des dialogues du film culte "Les Tontons flingueurs" : "Les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnaît."

Le fait est que si ces connards et autres connes avaient juste lu le tout début dudit Code, ils auraient découvert ceci :

Article 1. 

Voulons que l'Édit du feu roi de glorieuse mémoire, notre très honoré seigneur et père, du 23 avril 1615, soit exécuté dans nos îles ; se faisant, enjoignons à tous nos officiers de chasser de nos dites îles tous les juifs qui y ont établi leur résidence, auxquels, comme aux ennemis déclarés du nom chrétien, nous commandons d'en sortir dans trois mois à compter du jour de la publication des présentes, à peine de confiscation de corps et de biens. 

Lu dans Tribune Juive, sous la plume d'un certain Erick Lebahr. Les mises en exergue sont de mon fait.

Rama yade en rade! Rama yade , que j’aimais bien, est elle devenue folle? Ou bien cyniquement opportuniste?

Je suis révulsé par ses propos. L’on aurait pu voir en elle un exemple réussi d’assimilation.

Expatriée aux USA depuis plusieurs années , elle défend à présent le wokisme! Elle semble voir dans cette lèpre un humanisme bienveillant. Et elle juge très sévèrement la France, où le racisme serait systémique, selon elle.

Elle voit dans la statue de Colbert, près de l’Assemblée Nationale, une “micro agression” … et elle préconise donc le déboulonnage de toutes les statues qui la dérangent!

Elle fustige le fait que “les élites soient toutes blanches”.

Cette aigreur déplacée est sidérante …

Une preuve supplémentaire que le wokisme et la cancel culture, qui pervertissent parfois même les esprits semblant les mieux carapacés, ne sont pas à prendre à la légère. Il faut les traiter pour ce qu’ils sont. Un bélier supplémentaire de destruction de la civilisation occidentale, au même titre que l’islamisme.

Ce n’est pas pour rien que ces deux béliers, alliés dans un improbable mariage de la carpe et du lapin, concourent et convergent vers ce même but.

En tout état de cause, cette scandaleuse sortie de Rama yade, ex ministre française black au même titre que Bambuck et d’autres, est une MACRO AGRESSION contre la France, captieuse et hautement condamnable. Ce d’autant qu’en son temps, elle avait elle même bénéficié… d’une discrimination positive! Bien plus que de la méritocratie républicaine.

Des lors, cette trahison n’en est que plus abjecte.

Bien plus que la France, c’est elle qui devrait se regarder dans un miroir! (Source)

Réponse d'un certain Sylvain F. au billet précédent :

Yama rade a prouvé son propre racisme et son ignorance des faits historiques. On ne le dira jamais assez : ne pas enseigner la traite arabo-musulmane à l’école et dans les universités est criminel. (1) C’est du négationnisme d’État qui fait le jeu des islamistes et des indigénistes.

Lu dans Causeur, sous la plume d'un certain Benoît  Rayski (même traitement que précédemment).

Rama Yade ne supporte plus la statue de Colbert. Elle préfère désormais le wokisme…

Rama Yade a été ministre sous Sarkozy. Tant qu’elle occupait cette haute fonction, elle déambulait dans les rues de Paris heureuse et insouciante. Puis les aléas de la politique ont voulu qu’elle perde son portefeuille.

Et alors tout a commencé à aller mal. La pauvre fille s’est souvenue qu’elle était sénégalaise et noire. Et à Paris c’est très pénible de vivre avec cette double-identité tellement bafouée. Et ce qui la bafoue, c’est la statue de Colbert ! Elle est située devant la façade du palais Bourbon. « Chaque fois que je passe devant, je ressens comme une mini-agression » a-t-elle déclaré dans L’Express. (2) Mais qu’est-ce qui l’oblige à passer si souvent devant le Palais Bourbon ?

N’ayant pu déboulonner la statue de l’auteur du Code Noir, elle a décidé – la mort dans l’âme, on suppose – de s’en éloigner pour s’exiler à Washington. Là-bas, pas de Colbert, mais des tonnes d’inscriptions Black Lives Matter. Que du bonheur pour Rama Yade !

L’ancienne ministre de Sarkozy a déclaré, toujours dans L’Express (2) que le wokisme était « un noble combat pour la vérité historique ». La vérité historique, parlons-en. Quand, sous Louis XIV et Colbert, les Français voulaient des esclaves, ils les achetaient au Sénégal à des chefs tribaux qui, moyennant force verroteries, leurs vendaient les esclaves qu’ils s’étaient procurés en triomphant de tribus rivales. Elle ne sait pas ça, Rama Yade ? Si, mais elle ne veut pas le savoir, car cela équivaudrait à admettre que des Noirs se sont mal conduits avec d’autres Noirs. Ce qui est tout à fait interdit par le wokisme qu’elle affectionne.

Loin de Colbert, Rama Yade est donc heureuse à Washington. Elle y vit confortablement. A-t-elle une carte verte qui lui permet de travailler aux Etats-Unis ? Ou se contente-elle de toucher sa retraite d’ancienne ministre ? On peut imaginer qu’elle a des loisirs et qu’elle les consacre à écrire un livre dont le titre sera explosif : « Colbert le maudit ».

Rama Yade a confessé toutefois qu’à ses yeux tout n’était pas parfait aux Etats-Unis. Elle a fait état d’une statistique qu’elle juge accablante et raciste. « les Noirs représentent 8% de la population américaine. Comment se fait-il que les détenus des prisons US soient à 40% des Noirs » ?

A priori – mais ce n’est pas venu à l’esprit de l’ancienne ministre de Sarkozy – ils ont bien dû faire quelque chose pour mériter ça. Rama Yade n’est pas à une connerie près… (source)

 "... ils ont bien dû faire quelque chose pour mériter ça !" (sic).

Par parenthèse, cette phrase a dû être prononcée un bon nombre de fois durant certaine nuit de novembre 1938, qui vit des biens appartenant à des Juifs saccagés voire incendiés par la foule, moyennant une colère noire d'Hermann Göring (détail soigneusement escamoté par les "historiens"), et ce, pour des raisons bassement matérielles (cf. "die Güter verlieren wir zweimal!", "nous (le Reich) sommes perdants sur les deux tableaux !" ; entendez : les biens ont été saccagés, donc sont perdus pour le Reich, et, dans le même temps, les assureurs doivent couvrir les dégâts !). Jetez donc un œil dans les archives pour vous convaincre qu'après ladite Nuit de Cristal, pas une seule destruction de biens "juifs" n'interviendra dans l'Allemagne nazie et ses "possessions" ! (3)

Et comme preuve que ladite nuit de cristal n'est pas venue de nulle part, voyez le "re-tweet" de cette pauvre hystérique de Zohra Bitan ; il y est question d'un "héroïque attentat" :


Quant aux "noirs s'étant mal conduits avec d'autres noirs", j'invite cet écrivailleur à lire de toute urgence les récits de "juifs s'étant mal conduits avec d'autres juifs", tels que relatés dans les "Chroniques du Ghetto", d'Emanuel Ringelblum, ou dans le brûlot de Maurice Rajsfus : "Des juifs dans la collaboration".

Zohra Bitan et Rachel Khan font partie de cette clique que j'appelle volontiers des "Möchtegernjuden", de l'allemand : "ich möchte gern" (je voudrais bien). Je précise que cette formule m'a été inspirée par mes deux premières "fiancées" (guillemets de rigueur : j'ai toujours été allergique au mariage, voire à la cohabitation !) : une brunette ayant des airs de famille avec la jeune Romy Schneider, ashkénaze de mère, protestante de père. 

Quant à la seconde "fiancée", c'était une pure "aryenne", selon les codes anthropométriques hitlériens : plus blonde que Marilyn Monroe, avec des yeux verts. Et le jour où elle m'a avoué : "Weißt du was ? Ich bin eine Jüdin.", j'avoue que je suis parti d'un énorme éclat de rire : "Toi, juive ? Et puis quoi encore ?". Et elle de m'expliquer doctement, en détachant bien ses mots, qu'elle était née en Allemagne, de deux parents juifs, eux-mêmes nés en Allemagne, de quatre parents juifs, ces derniers étant nés en Allemagne, de huit parents juifs, etc.

Vous imaginez ma stupéfaction : "Et Hitler ?" Et elle de rétorquer : "Quoi Hitler ?".

Je lui sors la litanie : les persécutions, déportations et tutti quanti, et j'entends encore son quasi fou-rire, ponctué d'un tonitruant ! "Ach Quatsch!" ("Foutaises !").

Bien plus tard, fort d'études multiples et variées, je découvrirai que l'espionne nazie préférée d'Adolf Hitler, la sémillante Stephanie von Hohenlohe, était juive, à l'instar du général de brigade Fritz Bayerlein, aide de camp de Rommel lors de l'invasion des Ardennes, un des très nombreux officiers supérieurs juifs opérant au sein de la Wehrmacht.

Un camp nazi, quelque part en Lettonie, années 1941 ss. Bien nourri et chaudement vêtu : le chef des Kapos du camp.

Le genre de détails que nos pseudo-historiens de la "Shoah" et de "l'Holocauste" (un sacrifice rituel selon l'Ancien testament !) zappent systématiquement. Ce qui est vrai c'est que je n'ai toujours pas pu mettre la main sur un seul indice de l'existence de Kapos tziganes !

Quiconque a visité le mémorial de Yad Vashem, en Israël, a dû apercevoir un dessin en tous points identique à celui-ci, à ceci près que le tortionnaire et sa victime portent au bras le même brassard, avec l'étoile et les quatre lettres ! L'auteur du dessin entendait par-là dénoncer un secret de Polichinelle, à savoir l'exfiltration, vers ce qui n'était pas encore Israël, d'un nombre conséquent de collabos des nazis. 

Je n'ai jamais avoué à ces deux filles que j'étais fils de pasteur (un des rares hébraïsants au sud du Sahara, Éthiopie et Afrique du Sud exceptées), et du coup, ni l'une, ni l'autre n'ont compris que je leur cloue le bec à chaque fois qu'il était question de religion (juive).

Je vous confirme, donc, le mépris profond que m'inspirent tous ces "juifs de pacotille", comme je les appelle aussi. Prenez cette pauvre Zohra Bitan : elle serait juive par alliance (le mari). Et comme cela arrive souvent avec les convertis, la voilà se croyant plus juive que juive, sauf que son discours sonne faux, le soutien aveugle à la politique de colonisation israélienne en Palestine étant devenu, pour les Möchtegernjuden, une sorte d'ersatz de religion.


Prenez cette autre "juive" que serait Rachel Khan, dont je me demande si elle serait capable de distinguer la Torah du Talmud (un des textes les plus débiles que j'aie jamais lus !).

Et vas-y que je re-tweete un mauvais message de Sarah El Haïry, qui se lève contre les "discours woke", elle qui n'a jamais entendu le moindre blues, sinon, elle saurait ce que ce terme veut dire, au propre comme au figuré ! Il paraît que la dame serait ministre, secrétaire d'État ou quelque chose comme ça ?

Mais pourquoi diable de pseudo ou demi-jui(f)(ve)s et autres Möchtegern... viennent-ils s'associer à la cohorte des neuneus que je dénonce depuis le premier épisode de cette série ? Là-dessus, j'ai ma petite idée. Observons simplement que, souvent, les névrosés ne s'assument jamais complètement, d'où cette propension à "re-tweeter" la prose des autres, façon bouillie prédigérée et régurgitée.

Observons, par ailleurs, que bien de Möchtegern... ont la mémoire courte, donc, beaucoup de mal à assumer le fait que, virés d'Espagne et du Portugal par les rois dits catholiques, c'est dans l'Empire Ottoman... musulman que les juifs dits séfarades se réfugièrent en masse. 

Sauvés du désastre par des nations musulmanes ! Il faut croire que plein de cuistres ont du mal à assumer ce fait indéniable, ce qui explique sans doute l'indifférence qu'ils feignent d'afficher devant le supplice du peuple palestinien, tout en se réfugiant dans le cynisme le plus abject.

Le problème, et il est de taille, c'est que la névrose, et son corollaire, la mauvaise conscience, ne sont pas des maux auto-curables : elles ne s'évacuent pas toutes seules, et elles sont du genre tenace. Pensez à ce formidable poème de Victor Hugo, qui s'achève ainsi :

L’œil était dans la tombe et regardait Caïn. 


(1) Ce pauvre neuneu ne sait apparemment pas qui a chassé les Juifs d'Espagne (1492) après huit siècles d'occupation arabo-musulmane, ni pourquoi ces mêmes arabes, si friands d'esclaves, n'ont pas vendu tous ces Juifs, histoire d'en débarrasser la péninsule, et encore moins pourquoi les sultans mahométans n'ont pas eu la bonne idée d'importer des esclaves africains, histoire de développer leur agriculture, alors même que le Djebbel Al-Tariq (Gibraltar) ne se trouvait qu'à un jet de pierre des côtes marocaines !

(2) L'auteur a eu accès à l'article de l'Express, mais il ne l'a pas bien lu (Ça pour un scoop !). Par exemple, Rama Yade ne parle pas de "mini-agressions" mais de "micro-agressions", mais bon !

(3) Je me dois de signaler une archive (rarissime !) concernant un monument juif détruit en 1940, à savoir la Synagogue du Quai Kléber, à Strasbourg. Le fait est qu'on n'a jamais su par qui elle avait été incendiée.


 

Lectures : 01 - 02 - 03 - 04 - 05 - 06 - 07 - 08 - 09 - 10 - 11 - 12 - 13 - 14


N.B. S'agissant de ce que les nationalistes chinois ont baptisé, en anglais, "The Jewish opium wars" - Les guerres juives de l'opium (source), je vous ai traduit un extrait tiré d'un document signalé plus haut (cf. lien §05) :

Il n'y a aucun doute sur l'agression gratuite qui a marqué le début de cette guerre non déclarée, ni de la brutalité singulière avec laquelle les soldats britanniques [et français ! n.d.t.] ont mis à sac des villes paisibles, brûlé des bâtiments publics, pillé, saccagé et assassiné...

Il y eut beaucoup de coups de baïonnettes impitoyables. Le sol sacré de nombreux temples fut souillé ; d'exquises sculptures en bois furent utilisées pour des feux de camp, et les soldats britanniques [et français] ont vu des hommes âgés, des femmes et même des enfants s'égorger les uns les autres dans le désespoir le plus total, tandis que d'autres se jetaient à l'eau pour se noyer.

(…) La célèbre famille Sassoon, qui est probablement la famille juive la plus influente d'Angleterre aujourd'hui, et l'une des rares à avoir été intime avec les trois dernières générations de la famille royale, a établi sa richesse et son pouvoir lors des guerres de l'opium.

 

Prochain épisode : Leçon(s) d'Histoire

 

mardi 23 juin 2020

Réflexions sur le "shoah business" #6


Épisode §6. Hitler's jewish soldiers

Extrait d'un article concernant un ouvrage peu controversé, tant il est factuel, tout en étant peu évoqué dans les "grands" médias, allez savoir pourquoi ! 
Bryan Mark Rigg's Hitler's Jewish Soldiers uncovers a wealth of oral history and personal documents relating to German soldiers of partial Jewish ancestry who served in the Wehrmacht. Rigg interviewed hundreds of these men labeled "Mischlinge" by the Nazi regime. He sought and received access to many of their personal records, both in their possession and in military and government archives. By tracing their histories through interviews and documents, Rigg is able to reconstruct the historical experience of the "Mischlinge." His fascinating discussion nonetheless occasionally leaves the reader wanting. 
L'ouvrage "Les soldats juifs de Hitler" de Bryan Mark Rigg repose sur une grande richesse de récits oraux et de documents personnels concernant des soldats allemands d'ascendance partielle  juive et ayant servi dans la Wehrmacht. Rigg a interviewé des centaines de ces hommes baptisés "Mischlinge" (équivalent de "métis") par le régime nazi. Il a cherché et obtenu l'accès à bon nombre de leurs dossiers personnels, qu'il s'agisse de documents que les vétérans avaient en leur possession, ou qui étaient conservés dans des archives militaires et gouvernementales. En retraçant leur histoire à travers interviews et documents, Rigg a réussi à restituer l'expérience historique de ces "Mischlinge". Son extraordinaire récit laisse néanmoins parfois le lecteur sur sa faim.


J'indiquais plus haut que l'ouvrage de B. Rigg était peu controversé, à ceci près que bien des commentateurs (voyez la dernière phrase du résumé ci-dessus) se sont souvent crus obligés d'afficher l'une ou l'autre réserve, tant le sujet était..., comment dire ? Sensible ? Politiquement incorrect ?

Rendez-vous compte ! Hitler voulait exterminer les "Juifs" (1) jusqu'au dernier ; admettons. Seulement voilà ! Il y avait plus d'officiers supérieurs d'ascendance juive dans l'armée d'Hitler (1933-1945) qu'il n'y a de caporaux et sergents arabes dans l'armée israélienne actuelle (2020) ! Vous comprenez que le hiatus a de quoi embarrasser nos théoriciens de la "Shoah" et de l'"Holocauste" !

Par parenthèse, en France, le titre original de l'ouvrage de B. Rigg a été curieusement métamorphosé en "La tragédie des soldats juifs d'Hitler", alors même qu'il n'est nullement question de cela dans l'ouvrage !

Tiens, prenez Fritz Bayerlein. Général de Brigade Bayerlein : pas caporal, pas sergent, même pas lieutenant ou capitaine ; Général de la Wehrmacht Bayerlein, aide de camp de Manfred Rommel lors de l'invasion des Ardennes. Hé ben, ce général de brigade était juif, selon la typologie hitlérienne.

Une telle évidence étant difficile à contester, il ne restait aux faussaires et enjoliveurs de l'Histoire qu'à faire "motus et bouche cousue", ce qui fait que rares sont nos contemporains informés de la présence importante de "Juifs" dans la Wehrmacht d'Hitler.

Il va pourtant falloir expliquer, un jour ou l'autre, cette anomalie portant sur la concomitance d'une extermination des uns, ici, et d'une valorisation des mêmes ou à peu près, là. 

Citation : 
Les lois confuses de Nuremberg, décrétées en 1935, permirent d'incorporer dans la Wehrmacht, la Luftwaffe ou la Kriegsmarine, des hommes issus de mariages entre aryens et juifs. Outre Werner Goldberg, le réalisateur Larry Price a interrogé d'autres Mischling, dont Arno Spitzer, issu d'une famille juive aisée convertie au christianisme, devenu parachutiste et décoré à trois reprises de la Croix de fer. (Le Monde)
J'aime bien le passage : "les lois confuses de Nuremberg" ; il faut dire que, depuis des lustres, aux yeux de certains contrefacteurs de l'Histoire, tout est clair en matière de relations hitléro-juives ! Il me semble avoir déjà évoqué, ici même, le cas de cette "fiancée" juive allemande blonde comme les blés, sans parler de l'espionne nazie préférée d'Adolf Hitler...

Les illustrations qui suivent sont tirées de l'ouvrage de B. Rigg.

 

"en raison de votre ancienne appartenance au Parti (N.S.D.A.P : National Sozialistische Deutsche Arbeiterpartei) et les services rendus à notre mouvement...".


(1) Je suppose que d'aucuns se demandent pourquoi j'ai mis des guillemets à Juifs. Vous faites bien de vous interroger ! Tant il est vrai qu'il y a plus qu'une nuance entre "Jude", d'une part [(terme/je veux parler du substantif) qu'Hitler n'emploie dans quasiment AUCUN de ses discours publics entre 1933 et 1945, préférant des néologismes alambiqués du type "Jüdischbolschevismus", "Finanzjudentum"...] et "gens de la synagogue", d'autre part, et à cela, il y a plein de raisons !


Liens : 01 - 02 - 03 - 04




samedi 16 mai 2020

Réflexions sur le "shoah-business" #5


Épisode §5.  Vous avez dit "fake news" ?


Vous savez quoi ? Après une bonne vingtaine d'années passées à farfouiller dans une multitude d'archives, j'en suis venu à penser qu'au bas mot, 99 % des informations qui nous sont livrées par les historiens au sujet des camps de concentration nazis sont fausses ou, à tout le moins, truffées - volontairement ou non - d'erreurs, d'inexactitudes, voire d'occultations. Autant dire que pour 1 % de vrai, on doit compter avec 99 % de faux, d'approximatif, de scotomisé (terme tiré de la psychanalyse).

Source : Institut National de l'Audiovisuel (France)

Source
Et je vais vous fournir une démonstration aussi courte que percutante de ma théorie. Prenez le gros titre reproduit ci-dessus. Disons qu'il est faux à... 98 % (au moins !).

Et vous vous interrogez : "Mais elle est où, l'erreur ? Ne sont-ce pas les soviétiques qui ont libéré Auschwitz en janvier 1945 ?".

Vous brûlez ! C'est bien l'Armée Rouge qui a libéré Auschwitz en janvier 1945. Mais regardez bien le titre : il n'est pas question, ici, d'Auschwitz, mais du seul Auschwitz-Birkenau, un quartier parmi la cinquantaine composant le complexe d'Auschwitz !

Hé oui, Auschwitz se composait d'une cinquantaine de sous-camps... De fait, Birkenau s'étendait sur 2 km², soit deux cents hectares, quand l'ensemble d'Auschwitz couvrait près de dix mille hectares (> 96 km²) (1). Nous sommes bien dans un rapport de deux à cent !

Birkenau représentait bien 2 % d'Auschwitz, mais c'est TOUT AUSCHWITZ que les soviétiques libèrent en 1945.

Mensonges, approximations, omissions..., telle semble être la doxa sur laquelle reposent moult essais ou thèses d'historiens patentés, auxquels il faut bien adjoindre toute une cohorte de journaleux et autres journaleuses, toutes gens auxquelles, pour ma part, je n'accorde plus guère d'importance. 


(1) Information dénichée dans le journal intime de Johann Paul Kremer, médecin à Auschwitz (source).


Lectures : 01 - 02 - 03 - 04 (le titre à lui seul [Enseigner...] est une fake news !) - 05 (ceux-là au moins ont compris l'essentiel : le travail forcé !) - 06
 

vendredi 6 mars 2020

Les crimes de l'ONU-OTAN contre l'Humanité. Revue de la presse internationale : El País sur la sale guerre en Libye


Ce qui suit a été édité initialement durant l'intervention du gang criminel baptisé OTAN ou OCAN (Organisation Criminelle de l'Atlantique Nord) en Libye (28.09.2011). Les archives, ça sert à ça : à rafraîchir la mémoire de ceux qui l'ont un peu perdue.

Dans la rubrique "Ah tout de même !", voilà qu'un médium de l'ancien temps, sorti tout droit du 19ème siècle, je veux dire un organe de la presse écrite, le quotidien espagnol El País, sort de la guimauve et de la tambouille tiédasse servie jusqu'à maintenant par la vile et vieille presse au service de la propagande de l'Otan.

Il faut croire que d'aucuns commencent à avoir des scrupules - vous savez ?, "l'oeil était dans la tombe et regardait Caïn." (Victor Hugo) -, à en juger par ce papier...


"Je n'avais encore jamais vu de guerre plus sale !"

Description par des "insiders" (habitants de Syrte) de la campagne génocidaire menée par les troupes de l'ONU-OTAN contre des civils en Libye, campagne qui aurait valu à Goering, Keitel, Kaltenbrunner, Streicher... et autres Seyss-Inquart de se retrouver devant un tribunal spécial, à Nuremberg par exemple.

Pour ceux qui lisent l'espagnol : El País.

Pour les autres : voir la traduction...


mardi 28 janvier 2020

Réflexions sur le 'shoah-business' #1


Épisode §1. Une princesse chère au cœur du Führer


J'ai déjà évoqué, ici même, la discussion que j'eus un jour avec un de mes neveux, dont la classe de lycée avait décidé de quitter la salle si, d'aventure, le prof d'histoire-géo avait le culot de leur servir un couplet sur la "shoah", ainsi qu'il s'apprêtait à le faire lors d'un prochain cours sur WWII (en anglais : World War Two / Deuxième Guerre Mondiale)

Au fait, vous savez quoi ? Il paraît qu'Oświęcim, germanisé en Auschwitz, ne se trouve plus en Pologne mais en... Israël ! Si, si, je vous assure ! Enfin, c'est en tout cas ce qui ressort de cette pantalonnade internationale à laquelle vous avez dû assister à la télévision l'autre jour. Il faut dire que le polonais Benjamin X., alias Netanyahu, dont le vrai patronyme est Mileikovsky, est un cynique de première catégorie, trouvant sans doute que les territoires palestiniens étaient désormais trop exigus, et qu'il fallait, dare-dare, annexer également un bout de territoire polonais.

Nous eûmes, donc, droit à la logorrhée classique des lamentations et autres larmes de crocodiles à coups de "plus jamais ça !".

Mais plus jamais quoi, au fait ?

Plus jamais de mensonges, de contrefaçon de la réalité historique ? Plus jamais de massacres et de spoliation de populations sans défense ? Avez-vous seulement entendu, ne serait-ce qu'une fois, au cours de ce barnum israélien autour d'Auschwitz, prononcer le mot Palestine ou l'expression droits des peuples ?

On parie qu'en revanche, les mots "holocauste" et "shoah" ont été prononcés sur tous les tons ?

Par parenthèse, sait-on exactement pourquoi Hitler voulait à ce point éradiquer les gens de la synagogue ? Parce que "juifs" veut bien dire "gens de la synagogue", non !? Alors, c'était quoi, le mobile d'Adolf Hitler, sachant qu'un crime sans mobile ne peut être que l’œuvre d'un fou ?

Hitler était-il fou ? Dans la négative, il nous faut un mobile, non ?

Autre chose ? 30 janvier 1933, Hitler arrive aux affaires, appelé à la chancellerie par Hindenburg. 20 mars 1933, création du camp de concentration de Dachau, qui comptera par la suite pas loin de deux-cents sous-camps.

Et qui enferme-t-on à Dachau quelques semaines seulement après l'avènement d'Hitler ? Des 'juifs' ? Pas du tout ! La gauche allemande : socialistes, communistes, syndicalistes, etc., toutes gens susceptibles de constituer un puissant corps d'opposants à ce qui allait être la politique du IIIème Reich (1).

Voyez un peu ce que d'aucuns appellent stupidement  la "shoah", cet absolu contre-sens tiré de l'hébreu et renvoyant à une catastrophe naturelle.

À propos, la 'shoah', c'est quand déjà ?

Citation :
La Shoah, ou entreprise d'extermination des juifs d'Europe (1941-1945), est l'aboutissement de l'idéologie raciste et antisémite développée par Hitler, Führer de l'Allemagne. Elle se déroule en pleine guerre mondiale, tandis que l'Allemagne hitlérienne et ses alliés combattent le monde entier. (Source)
Vous avez compris ? À peine deux mois après sa nomination comme chancelier, Hitler entreprend d'embastiller la gauche allemande afin de la museler, mais il aurait attendu huit bonnes années pour régler leur compte aux "gens de la synagogue" qu'il détestait tant, parce que, apparemment, plus dangereux que les socialistes, communistes, anarchistes, etc. (cf. l'insurrection spartakiste de 1918-1919, qui aurait pu voir l'Allemagne rejoindre le camp des républiques soviétiques...) ! Vous y comprenez quelque chose ?

Shoah par-ci, holocauste par-là, voilà qui ne peut que m'inciter à piocher dans mes archives. 

Tiens, by the way, le nom de Stephanie von Hohenlohe (2) vous dit-il quelque chose ?

Non ? Il se trouve que je possède une biographie de cette personne, en allemand, parue en 2012 sous la plume de Martha Schad, et dont il existe une édition en anglais. 

Pour l'heure, jetons un œil sur sa fiche dans 'Wikipedia. 
La princesse Stéphanie et son mari divorcèrent en 1920. Vivant dans divers endroits d'Europe dont Paris, au fil des années elle se créa des amitiés et des relations étroites avec un certain nombre d'hommes puissants et influents, dont un diplomate nazi important, Joachim von Ribbentrop. Ses origines ne l'empêchèrent pas de se lier de près à la hiérarchie nazie, et même avec Hitler qui l'appelait sa « chère princesse ». Elle était amie intime avec Hermann Göring et Heinrich Himmler lui-même la déclara « Aryenne d'honneur ». Selon un rapport du MI6 datant de 1938, « le Führer parle souvent d'elle, il apprécie son intelligence et ses bons conseils. Elle est peut-être la seule femme capable d'exercer une influence sur lui. »
En 1932, elle fixa sa résidence à Londres dans l'élégant Dorchester Hotel à Mayfair. Appartenant à la plus haute noblesse allemande, elle était accueillie dans l'élite britannique, ce qui fit d'elle bien vite une propagandiste et une espionne de la plus haute importance pour Hitler qui venait d'accéder au pouvoir.(Wikipedia)
On l'aperçoit ci-dessous, assise (à gauche) aux côtés de Magda Goebbels.
 

Ainsi, donc, Hitler l'appelait "Meine liebe Prinzessin" (ma chère princesse). On dit d'elle qu'elle avait de l'entregent, et qu'elle tombait facilement amoureuse.

C'est ainsi, raconte Schad, qu'elle va s'enticher d'un fringuant jeune diplomate, ce qui déplaît passablement au Führer, qui s'empresse d'expédier le diplomate aux États-Unis afin de séparer le couple. Qu'à cela ne tienne, la princesse décide de suivre son amant outre-Atlantique. Et comme elle dispose de réelles compétences, Hitler se dit qu'elle pourrait rendre divers services, et là voilà espionnant pour le compte du Reich. Elle finira par éveiller les soupçons, puis sera arrêtée, pour se retrouver condamnée à une peine de prison plutôt modérée.

Vous vous demandez certainement ce qu'elle avait de si extraordinaire, la princesse si chère au cœur d'Adolf Hitler !



Ben, c'est très simple : Stephanie von Hohenlohe, l'espionne nazie préférée d'Adolf Hitler, était JUIVE !

L'espionne juive d'Hitler
Allez donc raconter ça à tous ces nigauds incultes (pléonasme !) qui nous bassinent régulièrement avec leur SHOAH et leur HOLOCAUSTE !

Nous allons, donc, reposer la question de tout à l'heure : compte tenu de ce qui précède, pourquoi diable Hitler aurait-il voulu à ce point liquider les gens de la synagogue, et si c'était une obsession chez lui, pourquoi avoir attendu si longtemps (1941-1942) pour entamer ce que d'aucuns appellent la shoah ou l'holocauste ?

C'est probablement dans leur incapacité à répondre à cette question, pourtant simple, que réside l'échec des hérauts du shoah-business à répandre leurs slogans négationnistes (3) à travers le monde, tant ces deux concepts jumeaux (shoah/holocauste) ressemblent à des parapluies percés de trous laissant passer la pluie. Or, une discipline qui se veut scientifique (l'Histoire) se doit de commencer par bien nommer les choses au lieu de créer un embrouillamini à coups d'euphémismes.

 

Lectures : 01 - 02 - 03 - (concernant la prochaine référence [cf. holocauste]; je connais des rabbins qui devraient se faire hara-kiri, de honte, car, visiblement, ils n'ont jamais lu les textes 'sacrés' du judaïsme !) 04



(1) Comme il y a fort à parier que, parmi les éminences de la gauche allemande, il y ait eu des juifs, bien évidemment, ces derniers ont été embastillés avec tous leurs comparses, mais en tant que socialistes, communistes, etc., chose dont personne, parmi nos grands historiens, ne parle ! De fait, des juifs, dans les camps nazis, il y en avait dès 1933 et, par la suite, dès 1938 en Autriche, après l'"Anschluss", à l'instar de Bruno Bettelheim.

Citation :
C'est au printemps 1938, après l'Anschluss, que Bruno Bettelheim fut, comme des milliers d'autres juifs autrichiens, arrêté, emprisonné, puis transféré au camp de concentration de Dachau. (Source)
Ce qui précède est en partie faux (comme d'habitude !), car Bettelheim n'est pas transféré à Dachau (tiens ! tiens !) en tant que juif mais bien en tant qu'éminent militant socialiste. Et comme, décidément, la maîtrise de la syntaxe est un exercice subtil, voyez un peu comment on suggère plus haut, à travers "des milliers de juifs arrêtés", que les arrestations ne visaient que les seuls juifs, ce qui est absolument faux, mais bon... Expert en fake news, c'est un métier, n'est-il pas ?
 
(2) À prononcer d'une traite :  'chtÉfanifonnHÔhœunlôhœu', avec 'oeu' comme dans bœuf et forte aspiration du 'h'.

(3) Le terme négationniste vous surprend ? Tout le monde va pourtant finir par savoir que, dans les camps nazis, il n'y a jamais eu de tziganes, ni de communistes, ni de résistants, ni de témoins de Jéhovah, ni de religieux chrétiens..., uniquement des "gens de la synagogue". Oui ou non ? Ou alors...


À l'attention de ceux et celles qui lisent l'allemand : l'ouvrage de M. Schad peut être commandé chez tout bon libraire grâce à son numéro ISBN : 978-3-7766-2682-7 



Citations :
  •  Le 31 janvier à 18:16 par Nattydread
Contrairement à ce que vous dites le bourrage de crâne lié à la shoah porte ses fruits : J’ai entendu un jeune noir de banlieue dire lors du voyage de Macron au Mémorial des Déportes en Israel dire : "l’étude de la shoah m’a permis de comprendre comment l’être humain pouvait être méchant !!! " . Etonnant non pour un jeune noir dont le peuple a subi pendant plus de 400 ans le pire des crimes contre l’Humanité:Celui qui consiste à dire à un Homme qu’il est un bien meuble !
  • Le 31 janvier à 18:48 par sous-France infantile
Aucun psy pour enfant ne dénonce les ravages émotionnels et psychologiques de ces gosses très jeunes que l’on traîne de force dans ces camps d’horreur ou l’on en rajoute dans la souffrance !! Les séquelles sont réelles sur des enfants sensibles ne connaissant rien à l’Histoire, ni aux tenants et aboutissants de la 2nde guerre mondiale ! Beaucoup d’enfants, sensibles par nature, en sortent traumatisés ! C’est purement de la maltraitance jamais dénoncée, ni jamais condamnée ! Ce bourrage de crâne et cette propagande sont une HONTE ! (Source) 
  • Marji
le 27/01/2014 à 10:32
Un professeur d'histoire me disait : je ne donne pas des cours d'histoire mais des cours de mémoire. (Source)