Translate

Affichage des articles dont le libellé est coppélia. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est coppélia. Afficher tous les articles

vendredi 24 août 2012

Enjoying the Alvin Ailey American Dance Theater in Paris. Voir et revoir l'Alvin Ailey American Dance Theater à Paris


Un peu de douceur dans un monde de brutes :  en ce mois de juillet 2012, l'Alvin Ailey American Dance Theater était de retour à Paris, au théâtre du Châtelet, pour les Étés de la danse. Leur dernier passage remontait à 2009 et, cette fois, de nouveau, j'avais pris mes précautions.  

Trois à cinq programmes par soirée ; pour voir la quasi totalité des ballets, j'ai pris des places pour deux matinées et deux soirées.

Il faut croire que les Parisiens adorent la danse, parce que ce fut plein du début à la fin. Et quand je dis plein, je veux dire "plein comme un oeuf" : d'habitude, l'astuce consiste à acheter des places très peu chères, de préférence à l'orchestre, pour ensuite profiter du baisser de rideau pour récupérer une place vide bien mieux placée. Là, ça n'a simplement pas été possible. C'était vraiment plein. Par chance, j'avais acheté mes places très précocement, d'où un emplacement fort appréciable pour un prix minime.

Les ballets modernes du type du Alvin Ailey font tout ce que font leurs homologues classiques, sauf qu'ils opèrent sans pointes et sans tutus. Mais je suis persuadé que la plupart des danseurs et danseuses seraient parfaitement à l'aise dans le Lac des Cygnes, La Belle au bois dormant ou Coppélia (versions Diaghilev, Ballets Russes et Cie). Quant aux grands jetés, celui exécuté ci-dessous par Kirven James Boyd n'a rien à envier à ceux exécutés naguère par les Noureev et autres Baryshnikov !

Ci-dessous, je me suis permis de piquer quelques images dans le catalogue de la compagnie.