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mercredi 28 septembre 2016

Mrs Clinton and her double. Hillary Clinton ou le mensonge dans la peau

Comme il fallait s'y attendre, ce que d'aucuns appellent la presse "main stream", qui s'avère de plus en plus "mean stream" (mean : minable, misérable, mesquin...), dont on dit qu'elle est majoritairement favorable à Clinton, a usé des vieilles méthodes que j'apparentais, dans un texte précédent, aux ficelles de J. Goebbels.

D'où le silence radio observé par la quasi-totalité des média à propos de cette étrange apparition sur un trottoir newyorkais.

Le problème est que Josef Goebbels, l'inventeur de la propagande moderne, n'a pas connu l'Internet !

Qu'à cela ne tienne, d'aucuns ont cru bon de devoir, quand même, tenter de brouiller les pistes.

Voilà que je tombe sur le site Internet de la chaîne de télévision française BFMTV, qui se hasarde à déambuler sur une corde bien raide !

Citation (les mises en exergue sont de mon fait) :
La prétendante démocrate à la Maison Blanche est atteinte d'une pneumonie et, depuis son malaise, les complotistes sont convaincus qu'elle aurait fait appel à un double pour assurer à sa place la campagne présidentielle. (source)
Observons que cette chaîne dite d'"information" en est réduite, à l'instar d'autres média, à courir après un phénomène dont elle n'est pas la pilote, à savoir un mouvement déclenché sur l'Internet, alors précisément qu'on attend des "journalistes" qu'ils soient les phares chargés d'éclairer les quidams incultes et ignares que nous sommes.

Observons ensuite que l'on use d'emblée de formules toutes faites chères à tous les propagandistes, ici, le vocable "complotiste", suggérant par là-même que nos "journalistes" connaissent le fin mot de l'affaire, les "complotistes" ne pouvant être que dans l'erreur.

Les "complotistes" en question estiment que le double de Clinton aurait pour but de se substituer à cette dernière durant la campagne présidentielle, cette insinuation de nos "journalistes" les dispensant d'analyser le discours précis des internautes, lequel porte avant tout sur des faits précis, ainsi que l'illustre la juxtaposition de deux images.


Le fait est que le site de BFMTV affiche un certain nombre d'images, mais jamais celle que l'on aperçoit ci-dessus, qui, elle, est particulièrement parlante.

Recourir à de vieilles ficelles dignes de Josef Goebbels, à l'heure de l'Internet, voilà qui semble bien téméraire, non ?

Question : mais pourquoi donc certains média veulent-ils, mordicus, défendre une théorie indéfendable, alors qu'ils auraient fort bien pu se contenter de se taire, en clair, d'observer un "silence radio" ?

L'explication est pourtant évidente : parce qu'ils ne sont que trop conscients de la puissance de feu de l'Internet, ainsi que l'illustre la résistance d'un fort nombreux public à la bouillie servie au monde par les autorités américaines à la suite des événements du 11 septembre 2001.

Tout le monde se souvient des images, diffusées en boucle, des deux avions pénétrant dans les tours jumelles, ainsi que du nuage de poussière généré par l'effondrement des deux gratte-ciel. En ce qui me concerne, ce n'est que plus tard, grâce à l'Internet, que j'ai découvert l'existence d'un troisième immeuble, le WTC7, qui s'était effondré comme les deux précédents, alors même que, de toute évidence, il n'avait été touché par aucun avion. Dans ces conditions, quand on a un peu de culture scientifique et technique, on se pose immédiatement des questions.

Mais la citation susmentionnée de BFMTV comporte un détail tout à fait intéressant, lorsqu'il est affirmé que "la prétendante démocrate à la Maison Blanche est atteinte d'une pneumonie...".

Je ne sais pas si les "journalistes" de cette chaîne de télévision savent ce qu'est une pneumonie ! N'importe quel bon dictionnaire vous apprendra que  la pneumonie est une infection des poumons causée le plus souvent par un virus ou une bactérie, en clair, par un agent pathogène potentiellement transmissible, c'est-à-dire potentiellement contagieux.

Par conséquent, nos "journalistes", dont le métier est d'éclairer le public ignare et inculte que nous sommes, auraient dû se poser la question du timing du diagnostic de la maladie de Clinton, car il s'agit d'un élément très important.


Résumons 

Temps T0. Mme Clinton participe à une cérémonie commémorative sur le site Ground Zero à New York lorsqu'elle est prise d'un malaise suffisamment grave pour qu'elle soit évacuée, titubante, vers un véhicule qui l'emmène (apparemment) vers le domicile de sa fille.

Temps T1. Voilà Mme Clinton, toute pimpante, sortant de l'immeuble où vit sa fille, et agitant la main en direction du public, affirmant que tout allait bien. On la voit même s'approcher d'une fillette en la tenant par l'épaule.


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Question : à quel moment les médecins de Mme Clinton lui ont-ils diagnostiqué une pneumonie ? Pour ma part, je ne vois que deux possibilités : entre T0 et T1 ; après T1.

*** Entre T0 et T1. Dois-je comprendre qu'après avoir appris qu'elle avait une pneumonie, Mme Clinton n'a rien trouvé de plus intelligent à faire que de s'en aller agiter des mains dans la rue, et faire croire au public que tout allait bien, contredisant formellement le diagnostic de ses médecins, et surtout, prenant le risque inconsidéré de refiler ses microbles à la fillette que l'on aperçoit ci-dessus ??????

*** Après T1. Dois-je comprendre que les médecins de Mme Clinton, la voyant partir en titubant du Ground Zero, n'ont pas pris la peine de l'examiner immédiatement, se permettant même de remettre cet examen à plus tard, le tout pour laisser leur cliente et candidate à la présidence des Etats-Unis s'en aller, de toute urgence, agiter des mains dans la rue ? 

By the way, par parenthèse, a-t-on des nouvelles de cette fillette à laquelle Mme Clinton risque fort d'avoir refilé les agents de la pneumonie ??????

Voilà des interrogations angoissantes auxquelles nos grands "journalistes" de BFMTV et d'autres organes de la presse dite "mean stream" ne vont pas tarder à apporter les réponses que les quidams ignares et incultes que nous sommes ne manquons pas de nous poser...

En tout cas, une question essentielle se pose à propos de Mme Clinton : au fond, qu'est-ce qu'elle aimerait qu'on retienne de toute cette histoire ? Que...

- sur l'image ci-dessus, on a affaire à la vraie Hillary Clinton, qui ose s'approcher très près d'une fillette, tout en se sachant contaminée par des pneumocoques ? Ou que...

- sur l'image ci-dessus, la femme qu'on voit aux côtés de la fillette est bien en bonne santé, et ce, pour la bonne et simple raison qu'il ne s'agit pas d'Hillary Clinton ? 

Le monde entier attend avec impatience les explications de Mme Clinton.

Wait and see! 


Lecture 01
Fort heureusement, la presse en ligne fourmille d'esprits peu enclins à avaler toute la bouillie que la presse du siècle dernier a tendance à nous servir un peu trop souvent. Ici, il est question de "front door challenge", que l'on pourrait traduire par "test du tête à tête", soit deux éléments placés côte-à-côte. Comme quoi, nous ne sommes pas les seuls à avoir "mauvais esprit" !


Lecture 02 :
He said: "Her posture is very rigid - she's almost back on her heels and if you watch her her head actually lifts up and you can see this rigid posture.
"Clearly the two staff members - one standing behind the other - the front one is clearly still controlling Mrs Clinton.
"The shift leader, the bald guy, walks right in front of Mrs Clinton.
"Now typically the shift leader or agent would never walk in front of the protectee as they're getting into a vehicle, because you're blocking their path.
"But the reason he is doing it is because he knows she can't move under her own power.
"He's going to come around and he's going to take her right arm - and watch what happens to Mrs Clinton.

"It's sad to watch but she starts to fall and of course they catch her."